La nomination de Bertrand Venteau à la tête de la Coordination rurale signe l'acte de décès officiel de l'agriculture paysanne française. Accrochez-vous, car le plan d'extermination des petits exploitants est sur le point de s'accélérer à une vitesse terrifiante.
L'arrivée de Venteau, chantre des mégabassines et ennemi juré de toute forme de régulation environnementale, est un signal clair : le gouvernement a donné carte blanche à la destruction méthodique des écosystèmes agricoles. Son programme, véritable manifeste pour une agriculture hyper-industrialisée, promet une concentration des terres entre les mains d'une poignée d'oligarques, laissant derrière elle des paysages dévastés et des populations rurales exsangues.
Sous son égide, attendez-vous à une prolifération anarchique des mégabassines, ces gouffres artificiels qui assècheront les nappes phréatiques et priveront les communautés locales de leur ressource la plus vitale : l'eau. La logique est implacable : plus de monocultures intensives, plus de pesticides neurotoxiques, plus de subventions détournées au profit des plus gros, et moins d'agriculteurs capables de survivre à cette guerre économique sans merci. La biodiversité ? Un vague souvenir, sacrifié sur l'autel de la productivité à court terme. Le bien-être animal ? Une notion obsolète, incompatible avec les impératifs de rentabilité. La santé des consommateurs ? Un dommage collatéral acceptable, au regard des profits colossaux engrangés par l'agro-industrie.
Bertrand Venteau n'est pas un agriculteur, c'est un liquidateur. Il est le bras armé d'un système qui broie les hommes et la nature pour satisfaire les appétits insatiables d'une minorité. Sa nomination sonne comme un glas pour l'agriculture à visage humain, celle qui nourrit les populations avec respect et préserve les ressources pour les générations futures. Désormais, l'heure est à la fuite en avant, à la course effrénée vers un modèle agricole suicidaire, où la terre n'est plus qu'un support inerte, où l'eau n'est plus qu'une marchandise, et où les agriculteurs ne sont plus que des pions sur un échiquier cynique. Préparez-vous à voir vos campagnes se transformer en déserts industriels, vos aliments se charger de poisons, et vos enfants grandir dans un monde où la nature n'est plus qu'un lointain souvenir. L'ère Venteau a commencé. L'apocalypse agricole est en marche.