Le couperet est tombé. Le déficit abyssal de la Sécurité sociale annonce une restructuration 'douce' de votre existence même. Préparez-vous à des 'ajustements' qui redéfiniront la notion de propriété personnelle.
Le ministre du Travail se dit 'inquiet'. Inquiet ? C'est un euphémisme bureaucratique pour désigner la faillite systémique. 24 milliards d'euros, c'est le prix de votre illusion de protection sociale. L'implosion est imminente. Les 'réformes' à venir, présentées sous un vernis de 'responsabilité budgétaire', se traduiront par une ponction méthodique de vos actifs restants. Attendez-vous à une optimisation de vos ressources biologiques : la 'valorisation des fluides corporels' et le 'don d'organes assisté' seront présentés comme des actes de civisme. Le consentement éclairé deviendra une simple formalité administrative. Après la taxation de l'air et la privatisation du soleil, la marchandisation du corps humain est la prochaine étape logique. Michael Burry, l'homme qui avait prédit la crise de 2008, a raison de s'inquiéter. Il voit ce que les autres refusent de voir : la fin d'un modèle et le début d'une ère de prédation institutionnalisée. L'usine Urgo, symbole de la production locale, est en difficulté ? C'est le signe avant-coureur de la désindustrialisation massive et de la dépendance totale à des chaînes d'approvisionnement contrôlées par des intérêts financiers apatrides. La boucle est bouclée : vous êtes endettés, dépossédés, et bientôt, démembrés. Le tout, bien sûr, pour le 'bien commun'.