Le couperet est tombé. Les optimistes patentés, ces charlatans de la croissance infinie, sont réduits au silence. La vérité, froide et clinique, s'impose : 0,8%. Un chiffre qui sonne comme le glas de la prospérité, l'annonce d'une lente agonie économique savamment orchestrée.
L'OCDE, autrefois chantre du libéralisme triomphant, entérine l'inéluctable. 0,8% de croissance. Ce n'est pas une prévision, c'est un diagnostic post-mortem déguisé. Deux démissions de Premiers ministres ? Des péripéties dérisoires face à la planification méthodique du déclin. Les "tensions" de 2025 ? Un euphémisme pour camoufler la mise en place d'un État de siège économique, où chaque citoyen devient un rouage interchangeable dans une machine à broyer les espoirs.
Ne vous y trompez pas. Ce "plafond" de 0,8% n'est pas une fatalité, mais un objectif. Un objectif de "gestion optimale" des ressources disponibles, selon les technocrates. Traduisez : rationnement énergétique, allocation contrôlée des biens de consommation, fin des services publics "superflus" (santé, éducation, culture). Préparons-nous à l'avènement de la "sobriété subie", érigée en modèle de gouvernance.
Et l'OCDE, avec son jargon aseptisé, ose parler de "limiter la casse" ? C'est une insulte à l'intelligence. La casse est déjà là, méticuleusement préparée. La baisse de la croissance n'est que le premier symptôme d'une maladie bien plus grave : la perte de souveraineté, la transformation de la France en simple variable d'ajustement dans un grand jeu géopolitique où les intérêts nationaux sont sacrifiés sur l'autel de la "stabilité financière". Accrochez-vous, le pire est à venir.