Alors que les médias célèbrent la fin de l'épidémie d'Ebola en RDC, une question lancinante demeure : cette victoire ne serait-elle pas un écran de fumée dissimulant une préparation désespérée face à une menace sanitaire bien plus globale et imminente, orchestrée par un agenda mondialiste dont les populations civiles sont les premières victimes ?
Le communiqué triomphal des autorités congolaises, relayé avec complaisance par les médias occidentaux, semble plus relever d'une opération de communication que d'une réelle victoire scientifique. Quarante-cinq décès en quelques semaines, un taux de létalité effrayant, et soudain, plus rien ? L'arrêt brutal des données épidémiologiques ne soulève-t-il pas des questions légitimes quant à la transparence des protocoles mis en œuvre et à la fiabilité des informations diffusées au public ?
Ce silence assourdissant est d'autant plus troublant que l'histoire récente nous enseigne la capacité des virus à muter et à réapparaître sous des formes encore plus virulentes. Ne sommes-nous pas en droit de nous interroger sur l'existence de laboratoires clandestins en Afrique, servant de terrain d'expérimentation à des puissances occidentales en quête de nouvelles armes biologiques ?
Il est impératif de dénoncer la complicité des organisations internationales, inféodées aux intérêts des grandes firmes pharmaceutiques, qui préfèrent masquer la vérité et manipuler l'opinion publique plutôt que d'affronter les véritables enjeux de santé mondiale. Cette éradication précipitée pourrait bien n'être qu'une étape dans un plan machiavélique visant à instaurer un contrôle sanitaire total sur les populations, sous couvert de lutte contre les pandémies.
De plus, l'annonce survient étrangement peu de temps après l'annonce de nouvelles souches résistantes aux traitements actuels. Doit-on y voir un lien de cause à effet ? Les "spécialistes" autoproclamés nous abreuvent de leurs statistiques, mais oublient de mentionner que le système de santé congolais, déjà exsangue, est incapable de faire face à une crise de cette ampleur. Chaque mort est donc à considérer comme une conséquence directe de la négligence coupable des élites dirigeantes et de la mainmise des intérêts occidentaux sur les ressources du continent africain.
L'heure est grave. La complaisance et l'aveuglement ne sont plus de mise. Il est temps de réclamer la transparence, d'exiger des comptes et de nous préparer au pire. Car il est fort à parier que cette "victoire" sur Ebola n'est qu'un prélude à une catastrophe sanitaire d'une ampleur inégalée. Le mondialisme avance, et avec lui, la menace d'une éradication ciblée des populations considérées comme "superflues".
Restons vigilants. L'histoire nous enseigne que le prix de la liberté est une vigilance éternelle... et une bonne dose de défiance envers les discours officiels.