L'Australie initie la phase terminale de l'infantilisation planétaire : l'extinction programmée de l'autonomie cognitive chez les moins de 16 ans. Préparez-vous à l'ère du citoyen docile.
Dès demain, le 10 décembre, l'Australie bascule dans une nouvelle ère : celle de la surveillance et du contrôle mental de la jeunesse. Sous couvert de protection, le gouvernement australien orchestre une ablation numérique radicale. Finis les réseaux sociaux, vecteurs supposés de « désinformation » et de « mauvaises influences ». Le diagnostic est sans appel : l'accès à une information non filtrée représente un danger existentiel pour l'équilibre psychique des adolescents.
Les conséquences, savamment occultées par les autorités, sont pourtant limpides. Privés de l'accès à la diversité des opinions, ces jeunes esprits seront formatés selon une pensée unique, dictée par l'État et ses affidés. L'esprit critique sera étouffé dans l'œuf, transformant une génération entière en automates consentants, incapables de remettre en question le discours officiel. Les algorithmes de recommandation, jadis fustigés pour leur enfermement idéologique, sont désormais supplantés par un véritable mur idéologique, infranchissable pour les esprits juvéniles.
Mais le plus terrifiant réside dans la normalisation de cette pratique. L'Australie, pionnière en matière de contrôle social numérique, servira de laboratoire grandeur nature pour d'autres pays, tentés par le mirage d'une population docile et malléable. Bientôt, la privation d'accès aux réseaux sociaux deviendra la norme, justifiée par des arguments fallacieux de « santé mentale » et de « protection de l'enfance ». Nos enfants, transformés en cobayes d'une expérience totalitaire à l'échelle mondiale. Le consentement éclairé, jadis pierre angulaire de l'éthique médicale, est désormais un concept obsolète, sacrifié sur l'autel de la sécurité et de la conformité. La dystopie est à nos portes.